Nous avons un rapport émotionnel aux informations et parmi la masse des contenus qui nous sont proposés, nous avons tendance à partager, aimer et retenir ce qui nous affecte d’une manière ou d’une autre. Nous privilégions ainsi les nouvelles qui confortent notre vision du monde, qui nous font ressentir de la joie, ou même de la colère. Comment nos biais psychologiques permettent-ils d’alimenter le fonctionnement du marché de la désinformation ? 🔔 N'oubliez pas d'activer vos notifications 🔔
Face à une fausse information, on se pense souvent extérieur à la chose, on se demande d’où elle vient ? Qui l’a produite ? Pourquoi ? Sauf qu’aujourd’hui le paradigme a changé et, dans l’écosystème numérique, nous ne sommes plus extérieurs à la désinformation, nous en sommes toutes et tous les relais potentiels.
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